Assemblée Nationale I Attaque massive sur la candidature d’Aimé Boji, une stratégie qui vise la fragmentation de l’Union Sacrée

La gestion des ambitions dans une dynamique politique est une question essentielle car les hommes politiques tout en se positionnant s’alignent sur des objectifs qui dépassent leur propre personne.

Les dernières attaques sous la ceinture par un groupuscule politique de la candidature de Aimé Boji le faisant passer pour un détourneur des fonds publics illustre parfaitement les méthodes mises en place par ceux qui attaquent le pays dans ses fondements. On peut se demander quel rapport entre les événements de l’Est et la désignation du président du bureau de l

Assemblée Nationale ? Rien en apparence et pourtant tout se tient Il est important pour les acteurs politiques de ne pas oublier que l’acte majeur qui a retourné les rapports de force après les élections de 2018 est à ne point douter la création de l’Union Sacrée, véritable véhicule qui a charrie la puissance politique de Félix Antoine Tshisekedi. 

Ce fut une révolution et sur cette plate-forme s’est construite l’architecture de la gouvernance actuelle. Les membres de l’Union Sacrée ont parfois une perception moindre de l’acte puissant qu’ils ont posé, ils minimisent l’apport puissant qu’ils ont apporté au changement dans le pays. Tous les résultats obtenus par la suite notamment le développement du budget national, la gratuité de l’enseignement etc… tirent leur puissance de la terre labourée par l’Union Sacrée. Voilà une vérité politique que très peu considèrent car leur posture au sein de l’Union Sacrée est dictée par des ambitions personnelles. Et pourtant les ennemis de la république savent que pour faiblir Félix Tshisekedi, il faut d’abord anéantir son véhicule politique en fragmentant ses forces et en créant la zizanie. 

Voilà pourquoi la cible d’aujourd’hui est tactique. Pour atteindre Félix Tshisekedi il faut s’attaquer à la matérialisation de toute stratégie qui vient de son antre. Aimé Boji est le candidat du consensus politique et de la continuité idéologique pour libérer le pays de l’agression. Les ennemis de la république avaient misé sur le départ de vital Kamerhe pour imploser l’Union Sacrée. Sachant que les appétits des uns et des autres allaient provoquer des fissures tendant à ébranler les fondations de ce mouvement politique. Il a fallu juste d’une divergence de perception pour que les vieux démons se réveillent et que l’opprobre soit convoqué pour salir l’image de l’ « élu », le candidat commun. À ce stade, quels intérêts défendent ceux qui s’attaquent à Aimé Boji ? C’est la même tactique, utiliser le faux, plus c’est gros plus ça passe. Boji Sangara aurait détourné plus d’un milliard de dollars au ministère du budget ? Y a-t-il encore des congolais pour croire en ces choses ? Oui car le nivellement par le bas est la voie facile à la satisfaction des appétits gloutons. 

Le candidat commun de l’Union sacre se positionne comme un moyen de consolider l’Unité au sein de l’Union Sacrée et d’affûter l’arme politique devant reprendre la souveraineté nationale et l’intégrité du territoire national entre les mains des prédateurs. Se mobiliser contre une activité, qui en fait relève du réglage politique est en réalité donner la preuve que les manipulateurs agissent et s’infiltrent au sein d’une classe politique qui porte l’inconscience comme arme d’autodestruction. 

Fondamentalement les membres de l’Union Sacrée doivent être fiers d’écrire l’une des plus belles pages de l’histoire de notre pays dont la phase actuelle convoque le retour de la dignité nationale. Ils ont le rôle historique d’incarner le refus du peuple de se soumettre aux forces immorales de la prédation. Alors qu’ils ne soient pas distraits et donnent à leur peuple les conquêtes de la morale et de l’intelligence politique. 

Aimé Boji est sans doute la vitrine qui montre l’effort de conduite une politique de combat et de liberté.

 

R.Tanzey

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