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 » Alors que les choses sont claires au regard du communiqué de presse rendu public par le parti AREP sur la question, la déclaration faite par son leader de référence, Maître Guy Loando Mboyo, continue à faire objet des commentaires de toutes sortes surtout, dans les milieux des experts en recherche des pous sur la tête des chauves qui ont donné aux propos pourtant clairs du Ministre une autre connotation  », a affirmé l’un des ses proches Conseillers. En sortant les propos de leur contexte et en choisissant l’angle de la confusion,  » ils ont voulu ternir l’image de notre Leader sans savoir qu’il était un homme organisé avec une maîtrise de l’écosystème politique du pays  », a-t-il renchérit.

En affirmant que l’on ne doit pas élaborer des propos publics après les déclarations du Chef de l’État, Guy Loando, confirme son Conseiller, n’envisageait en aucun cas de promouvoir le retour à la dictature ! Au contraire, il s’était prononcé contre cette politique spectacle à la quelle s’adonnent plusieurs personnalités qui oublient les règles élémentaires du respect des procédures.

Pour lui, en tant que Ministre du Gouvernement central dirigé par le Président Félix Tshisekedi, il existe des espaces appropriés pour donner son point de vue quand on est membre du Gouvernement central et dans cette instance démocratique, la parole est partagée comme un moyen de construction et de gestion des contradictions. C’est là où est attendu les points de vue personnels. En dehors, selon le Ministre d’État, cité par son Conseiller, les membres du Gouvernement sont tenus à la solidarité et ne doivent en aucune manière nourrir la polémique.

S’agissant du sujet en question, les membres d’AREP, dit-il, ont déjà planché de manière précise et ont indiqué les pistes concrètes d’une révision constitutionnelle. Mais ces réflexions, selon eux, doivent suivre le chemin de la responsabilité et non du folklore.

On voit que le Ministre d’État et Ministre de l’Aménagement du territoire a pris de la graine et s’est aligné sur les voies du respect de l’État. On peut comprendre que les prises de parole à contre sens sont devenues un modèle complexe de contrariété nationale au point que le débat ne se fait plus à cause d’une cacophonie sociétale.

Les membres de ce jeune parti déjà matures, affirme leur Secrétaire national, sont disciplinés et savent que le dialogue démocratique doit obéir à des normes de production. Sinon, c’est le chaos.

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