« SENAT – Destin signalé : Maitre Guy Loando, une nouvelle génération d’acteurs émergents », écrivait en son temps Géopolis Hebdo, trihebdomadaire d’informations générales paraissant à Kinshasa. Un article prémonitoire sur Me Guy Loando Mboyo, candidat-questeur à la chambre haute du Parlement de la République Démocratique du Congo (RDC). Depuis le Sénat, droit dans ses bottes, niché au Bureau de ladite chambre, fort d’une expérience avérée dans divers domaines du droit et des affaires, l’avocat élu sénateur de la Tshuapa disposera des nouveaux leviers pour «agir en faveur du pays, apporter sa part de contribution à un Congo meilleur», explique-t-il à qui veut l’entendre. Pour ce faire, cet avocat d’affaires qui pilote un groupe d’entreprises crédibles dans les milieux de la finance au pays et à l’étranger, a décidé de s’offrir de nouveaux horizons. L’animal politique a décidé de prendre de l’envol en se lançant en candidat indépendant dans la conquête de la questure au Sénat. Mais pourquoi ? Devenir membre du bureau de la plus haute chambre parlementaire du pays est une question des personnalités et non de masses, car ce sont les structures qui adhèrent aux personnes et non le contraire ! Au regard du contexte politique post-alternance actuel, il y a un grand besoin non seulement d’unité au pays mais aussi de consensus politique afin de pérenniser les acquis de la jeune démocratie. GLM semble aujourd’hui bénéficier d’un consensus autour de sa candidature du fait que des personnes des générations différentes se reconnaissent en lui et les ambitions des uns et des autres trouvent dans sa personne un être médian capable de mener avec tact les différents arbitrages du Sénat. Son indépendance et sa personnalité sont des atouts pour garantir à chaque sénateur une juste attention. Il faut savoir que les institutions comme le Sénat sont construites sur la force de personnalités tant au niveau de leur expérience qu’au niveau du rêve qu’elles portent. Guy Loando est de ces jeunes politiques qui portent en eux un condensé puisant d’innovations capables de changer le cours des choses. Il est aussi un candidat du consensus entre les autorités de cette famille politique en coalition. A l’approche des prochaines élections du bureau définitif de la chambre haute du Parlement, l’honorable sénateur Guy Loando qui a présenté sa candidature pour la questure du Sénat, a exercé et assuré à la fois pendant plus de 10 ans des fonctions au sein des entreprises tant locales et qu’internationales. Fort de cette riche expérience, il se trouve être le candidat-questeur qui présente le profil favorable à ce poste qui nécessite rigueur, dynamisme et expertise.

Licencié en droit de l’Université de Kinshasa (UNIKIN), avocat d’affaires et mandataires en mines et carrières de son état, Me Guy Loando a été élu sénateur en 2019 pour le compte de la jeune province de la Tshuapa, située au nord-est du pays. Depuis cette élection, il a affiché ses ambitions à la questure du Sénat de la RDC. Son parcours professionnel dans l’univers juridique et d’administration des sociétés en RDC a équipé ce jeune politicien des atouts requis pour assumer avec compétence les obligations liées à la questure.

Avant son élection au Sénat, cet avocat de carrière a fondé le cabinet d’affaires GLM & Associates qui intervient notamment dans le domaine des mines et carrières. Au-delà de sa pratique du droit, Loando est un féru de l’administration des affaires. Il gère un groupe de sociétés spécialisé dans les domaines des services, de l’immobilier, des mines, de la finance, de l’hôtellerie et de la restauration. GLM siège par ailleurs au conseil d’administration des sociétés tant locales qu’internationales et est consultant-expert dans plusieurs entreprises.

L’élu de la Tshuapa n’est pas qu’homme de droit, il est également un congolais épris d’humanisme. Conscient des défis sociaux qui sévissent dans son pays, le juriste s’est vu investi de la mission d’y répondre en investissant dans le bien-être social de la collectivité. Il créera ainsi en 2018 la Fondation Widal, une structure humanitaire dont il en est le président et qui vise à assister les plus vulnérables de la société congolaise en général, et de sa province d’origine en particulier.
En outre, la structure vise la résorption du chômage au moyen des formations en entreprenariat assurées aux jeunes congolais. Elle se propose aussi de promouvoir les valeurs qualitatives dans les domaines social, culturel et éducatif. Pour ce faire, WIDAL œuvre au développement de nouvelles initiatives en favorisant des contacts productifs et des échanges d’information avec différents partenaires œuvrant tant dans le secteur public que privé, sur le plan national et international.

Elevé dans la foi catholique par des parents enseignants, Me Guy Loando a été dès son enfance forgé aux valeurs de discipline, travail, honnêteté et altruisme. Ces valeurs ont accompagné le jeune sénateur tant dans son parcours scolaire, social que professionnel. Elles ne manqueront pas de dicter la conduite de cet avocat à la questure du Sénat.

Notons par ailleurs que Me Loando incarne aujourd’hui le renouvellement de la classe politique congolaise intervenu à l’occasion des derniers scrutins. Porteur d’une vision d’un Congo de l’alternance par la compétence, l’avocat d’affaires est déterminé à mettre au service de la nation et de la population congolaise son expérience acquise dans le secteur privé. Mais quel est rôle du questeur au sein de la chambre haute du Parlement congolais ?

Assister le Président de cette institution dans l’élaboration et l’exécution du budget du Sénat. A ce titre, le questeur en est l’ordonnateur délégué et investi de la compétence de la gestion journalière de la chambre législative au plan administratif et financier et supervise, sous la direction du président du Sénat, tous les services qui s’y rapportent. Il en fait mensuellement rapport au Bureau. Tel est le rôle dévolu au questeur.

Dieudonné Buanali

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