Saisie d’une campagne de désinformation et de déstabilisation du Fonds forestier national (FFN) sur plusieurs canaux d’informations pour détruire une énergie positive récemment instaurée au sein de cet établissement de l’Etat, la délégation syndicale monte au créneau pour dénoncer les auteurs de cette forfaiture qui visent à décourager un nouvel élan qui s’observe en interne.
Dans un communiqué lu et rendu public ce vendredi 14 février, le bureau de la représentation syndicale du FFN met en en garde contre une immixtion désaxée de personnalités mal intentionnées qui tiennent à ramener cette structure publique vers le bas. « La Délégation Syndicale du Fonds Forestier National, après avoir été saisie par la Direction Générale d’une publication en ligne sur les propos sectaire, féministe et xénophobe visant à déstabiliser la paix sociale ainsi plantée par Madame la Ministre d’Etat, Ministre de l’Environnement et Développement Durable, dénonce avec véhémence l’immixtion désaxée de personnalités mal intentionnées qui s’obstinent à exercer une pesanteur négative visant à étouffer le décollage et le bon fonctionnement du Fonds Forestier National » peut-on lire dans ce document.
C’était une occasion, dans ce communiqué, pour que le bureau de la la Délégation Syndicale invite de ce fait les agents et Cadres du Fonds Forestier National ainsi que les internautes au discernement « pour ne pas verser à la manipulation qui a élu domicile au sein de notre Institution, jadis dénoncée dans ses correspondances ».
Dans cette campagne de désinformation qui attribue faussement des nationalités aux membres du comité de gestion du FFN, la délégation syndicale dément également une affirmation selon laquelle elle s’est réunie 6 fois dans une période d’un mois en 2025 pour une ou autre raison. Elle est allée plus loin en demandant que les procès verbaux sanctionnant ces réunions soient dévoilés, a défaut, une action en justice sera initiée dans un plus bref délai.
Cette campagne de « diabolisation » contre le FFN intervient pendant que le pays traverse un moment trouble sur le plan sécuritaire. Ce qui a poussé d’ailleurs la Direction générale de réaffirmé tout son soutien au Chef de l’Etat et aux FARDC, dans le cadre de la mobilisation générale tel qu’appelé par le commandant suprême.
